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Par un temps de tristesse,
Je t'ai vu en train de me regarder,
Tu avais un regard qui faisait en sorte que cela ne me blesse,
Et tu as décider de me parler.
Ta voix été douce comme le satin,
Comme si elle me prenait par la main,
Et moi intrigué par tes yeux,
Qui était d'un bleu mystérieux.
Je me suis mis à penser que la vie,
N'était qu'en fait que le réconfort de tes lèvres,
Tes lèvres qui me faisaient oublier tout mon malheur,
Mais aussi tous mes soucis.
Tes cheveux qui voler comme de la soie,
Et qui avait la couleur de l'or,
Me faisait tout aussi trembler que ta voix,
Et je suis sur que je serais enfin heureux lors de ma mort.
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Les étoiles se penchent pour t'embrasser,
Et je ne dors pas, je m'ennuie de toi,
Épanche sur moi une bonne ambiance,
Parce que je vais m'assoupir en sécurité et profondément.
Mais tes bras qui m'entourent me manquent
Je t'enverrai une carte postale ma chérie
J'aimerais que tu sois là
Je regarderai la nuit tourner au bleu
Mais ce n'est pas pareil sans toi,
Parce qu'il faut être deux pour chuchoter tranquillement
Le silence n'est pas si mauvais,
Jusqu'à ce que je vois mes mains et me sente triste,
Parce que les espaces entre mes doigts
Sont exactement là ou les tiens s'adaptent parfaitement
Je trouverai le repos via de nouveaux moyens
Bien que je n'ai pas dormi depuis deux jours,
Parce que cette froide nostalgie me glace jusqu'aux os.
Mais trempé dans un crépuscule vanillé
Je vais m'assoir devant la véranda toute la nuit,
Cintré profondément dans mes pensées lorsque je penserai à toi.
Je ne me sens pas si seul.
Je ne me sens pas si seul.
Je ne me sens pas si seul.
Tant que je vais ciller, je penserais à toi... ce soir.
Je penserai à toi ce soir.
Quand tes yeux violets deviendront plus brillant
Et que ces lourdes ailes s'allègeront
Je gouterai le ciel et me sentirai de nouveau en vie.
J'oublierai le monde que j'ai connu,
Mais je jure que je ne t'oublierai pas,
Oh si ma voix ne parviendrai pas à revenir du passé,
Je chuchoterai dans ton oreille,
Oh chérie, j'aimerai que tu sois là
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Cette nuit nous buvons à la jeunesse
Et jeûnons à la vérité
Je ne veux pas perdre l'enfant que j'étais
Mon coeur continue de battre
Mais l'amour est devenu un exploit
Aussi fréquent qu'un jour de froid
Parfois quand je suis seul je me demande
Suis je sous le charme
Qui me tient a distance de la réalité
L'amour fait mal
Mais c'est parfois une bonne douleu
Qui me rappelle que je suis vivan
L'amour chante
Quand ça surpasse les mauvaises choses
Aie pitié et essaie moi
Parce que sans l'amour je ne survivrais pas
Je suis enchainé et malmené
Je reste nu et accusé
Je veux seulement la vérité
C'est pour ça que cette nuit on boit à la jeunesse
Je ne perdrais jamais l' enfant que j'étais
Parfois quand je suis seul je me demande
Suis je sous le charme
Qui me tient a distance de la réalité
L'amour fait mal
Mais c'est parfois une bonne douleur
Qui me rappelle que je suis vivant
L'amour chante
Quand ça surpasse les mauvaises choses
Aie pitié et essaie moi
Parce que sans l'amour je ne survivrais pas
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Dans cette hiver de mort,
Le printemps arriva au point fort,
Ces jeunes bourgeons qui apparurent,
Etaient des plus purs.
Ils grandissaient de plus en plus,
Et le soleil au dans le ciel leurs donnait un petit coup de pouce,
Les feuilles qui reprenaient vie,
Pouvaient encore grandir aujourd'hui.
Ce vert qui pétilles,
On voudrait le gouter avec nos papilles,
Comme du sucre caraméliser,
On voudrait bien en manger.
Ces arbres qui ont des années,
Continu encore de pousser,
Pour montrer aujourd'hui,
Que la nature est toujours en vie
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Que fait cette marre de sang autour de ce corps,
Pourquoi a-t-il une arme à la main,
Je ne vois que tristesse sur se visage mort,
Est-ce que se sera mon tour demain.
Je regarde mes mains transparentes,
Serais-je l'esprit de ce corps,
Donc je suis réellement mort,
La mort c'est bien jouer de moi.
Le suicide est moins apprécier,
Surtout si se sont tes parents qui sont attristés,
Tes amis t'en veulent d'être partis,
Et que tu ne fasses plus partis de leurs vie.
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