• Dans le froid de l'hiver,
    Les corps déchiqueter par les charognards sont immobiles,
    Ces corps qui restent là ivre mort sans que leurs demande pourquoi,
    Ils pourrissent dans ce noir obscur,
    Qui nous procurent de la peur mais qui nous rassure.
     
    Ces corps qui disparaissent avec le temps,
    En gardant leurs histoires enfouis dans leur for intérieur comme les océans,
    Mais qui perdurent de générations en générations,
    Et qui ne disparaîtront pas aussi rapidement.
     
    On pourrait dire que la mort leur a causé bien des soucis,
    Mais moi je ne suis pas de cet avis,
    Car bien qu'on leur a ôter la vie,
    Leur esprit sont toujours la à surveiller les vies.


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