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...Ma bien aimée...
Par un temps de tristesse,
Je t'ai vu en train de me regarder,
Tu avais un regard qui faisait en sorte que cela ne me blesse,
Et tu as décider de me parler.
Ta voix été douce comme le satin,
Comme si elle me prenait par la main,
Et moi intrigué par tes yeux,
Qui était d'un bleu mystérieux.
Je me suis mis à penser que la vie,
N'était qu'en fait que le réconfort de tes lèvres,
Tes lèvres qui me faisaient oublier tout mon malheur,
Mais aussi tous mes soucis.
Tes cheveux qui voler comme de la soie,
Et qui avait la couleur de l'or,
Me faisait tout aussi trembler que ta voix,
Et je suis sur que je serais enfin heureux lors de ma mort.
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