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Je suis là à regarder au loin,
L'horizon recouvrant la mer,
Qui cache les pays lointains,
Mes rêves partent dans les airs.
La terre où je marche s'effondre sous mes pieds,
Je vois maintenant le néant,
Et dire que j'ai tout laissé,
Sans même faire un seul mouvement.
Je vois le ciel disparaître,
Le noir m'enveloppe,
Des yeux rouges commence à apparaître,
Je commence à devenir misanthrope.
Je tue par le plaisir,
Et je ne fais que haïr,
Tout le monde me rejette,
Il y a l'enfer qui me guette.
J'entends une voix dans ma tête,
Qui me dit de tuer,
Je ne peux même pas m'arrêter,
Maintenant j'ai un nouveau maître.
Bien que des choses se sont passés,
Je ne peux toujours oubliés,
Ces visages glacés de peur,
Dont je leur en ai donné la terreur.
Chaque moment passe,
Je me lasse,
Je ne sais plus quoi faire,
Maintenant que j'ai tué tout le monde sur la Terre.
Moi qui suis en vie,
Je revois les visages de mes amis,
Qui ont disparu,
Et que je n'ai plus jamais revu.
D'un coup l'enfer s'ouvre à moi,
Je ne suis qu'un assassins,
Moi qui était roi,
Maintenant je ne suis plus rien.
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Dans le froid de l'hiver,
Les corps déchiqueter par les charognards sont immobiles,
Ces corps qui restent là ivre mort sans que leurs demande pourquoi,
Ils pourrissent dans ce noir obscur,
Qui nous procurent de la peur mais qui nous rassure.
Ces corps qui disparaissent avec le temps,
En gardant leurs histoires enfouis dans leur for intérieur comme les océans,
Mais qui perdurent de générations en générations,
Et qui ne disparaîtront pas aussi rapidement.
On pourrait dire que la mort leur a causé bien des soucis,
Mais moi je ne suis pas de cet avis,
Car bien qu'on leur a ôter la vie,
Leur esprit sont toujours la à surveiller les vies.
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Bonjour et bienvenu sur mon blog spécialement consacré à des poèmes que j'écris de ma main!
J'espère qu'ils vous plairont et que vous laisserez des commentaires. Les critiques sont bienvenu. Mais s'il vous plaît les insultes sont interdit et tout propos raciste.
Merci d'avance!
Et bonne visite!
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Je te regardais par la fenêtre
Tu illuminais chaque soir ma vie
Sans que tu puisses le paraître
Je vis que tu me souris.
Blanche comme la neige
Tu étais pareil qu'une sainte vierge
Tu m'accueillais dans tes bras
Pour que je puisse oublier mes souffrances.
Ces souffrances que j'endurais chaque jours
Et qui me permettais de te voir
C'était un sentiment d'espoir
Qui me menais vers mes beaux jours.
Toi qui ressemble tant à une mère
Tu ne pouvais que nous plaire
Et sans que tu nous dises quelque chose
Tu nous faisait voir la vie comme une rose.
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Regardant la mer sans fin,
Je me suis mis à penser à des souvenirs d’enfance,
L’odeur de la mer et de l’eau avec sa transparence,
Et ce sel de mer qui se dépose sur mes mains.
Je te vis marcher sur ce sable fin,
Tes cheveux qui avaient le reflet de la nuit,
Tu regardais cet océan d’un bleu marin,
Seul on entendait la mer faire du bruit.
Je me crus dans un rêve merveilleux
Je ne pus contenir mes larmes de ta beauté,
Tu te promenais avec ce vent léger,
Qui faisait voler tes doux cheveux.
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